Actuellement, notre ancienne diplômée est responsable de projet technique chez Vitesco Technologies / Schaeffler, un équipementier automobile basé à Toulouse. Elle travaille précisément sur le contrôle des moteurs thermiques pour différents types de véhicules commerciaux pour divers constructeurs automobiles.
- Quels souvenirs marquants conservez-vous de votre passage à l'Esisar ?
Mes souvenirs sont liés à ma petite promo P2004 où les échanges entre mes camarades et les professeurs étaient amicaux et bienveillants. Il y avait aussi les TP et TD en demi-classe, les cours de veille technologique ainsi que les cours de danse et d’escalade en EPS. Sans oublier l’incontournable Challenge de l’Étudiant où l’Esisar sortait régulièrement vainqueur !
- Quelles sont selon vous les forces de cette école ?
La force principale de l’Esisar réside dans ses professeurs accessibles, issus du monde de l’industrie. C’est une école à taille humaine où tout le monde se connaît, située dans une ville dynamique. Il y a également beaucoup de travaux pratiques qui rendent l’enseignement ludique. La prépa intégrée permet à l’école d’être plus accessible post-bac et d’atteindre un bon niveau d’apprentissage. Le véritable atout : les projets industriels en 4ème année qui permettent de découvrir le monde de l’entreprise et ses contraintes.
- En quoi cette formation vous a-t-elle aidé à démarrer dans votre vie professionnelle ?
L’Esisar m’a offert un bon niveau technique et multidisciplinaire (automatique, électronique, informatique), ce qui m’a permis de réussir dans mes activités au sein de mon entreprise. J’ai également acquis un raisonnement technique, une ouverture d’esprit ainsi qu’une rigueur nécessaire pour résoudre les problèmes rencontrés au quotidien et mener à bien mon travail.
- Aujourd'hui, 10, 20, 30 ans après l'obtention de votre diplôme, que devenez-vous ?
Aujourd’hui, je suis responsable de projet technique. J’encadre une petite équipe d’une dizaine de personnes. Je suis en contact avec le client pour analyser ses demandes et exigences, gérer les activités, les plannings et les budgets, et faire le lien entre les équipes de développeurs, d’intégrateurs et de testeurs dans les différents services (hardware, software et système). J’ai fait le choix de rester très proche de la technique afin de garder un aspect concret à mon activité. Mes projets s’étendent sur une durée d’environ trois ans, de la cotation au développement jusqu’à la livraison du produit fini.
- Y a-t-il des conseils que vous donneriez aux étudiants actuels de l'Esisar pour maximiser leur expérience et leur réussite académique ?
Mon conseil porte sur la recherche active du stage de fin d’études. Celui-ci est le point d’entrée dans la vie active : il permet de se différencier des autres jeunes diplômés sur le marché de l’emploi et détermine en grande partie le secteur d’activité vers lequel on souhaite s’orienter.
- Divers, autres... place libre à votre message :
Je suis très fière d’avoir été Esisarienne ! Cinq années remplies de rencontres, de vraies amitiés, de travail… et d’insouciance !