Les élèves ingénieurs travaillent, par équipe de 3 ou 4, sur des projets industriels innovants pendant 6 mois au second semestre de la 4ème année. Co-encadrés par un chargé de projet Esisar et un chargé de projet entreprise, l'équipe met en application ses compétences au service du projet de R&D proposé par l'entreprise partenaire. Une expérience professionnelle unique !
Pour en savoir plus sur les projets industriels.
GAZZAH Oumayma / NEVIADOMY Jorelle / PELIZZARI Clelia / ROUZEAU Manon
Manon : Notre projet consiste en la refonte d’un équipement médical. En effet, les deux microcontrôleurs qui le pilotent ont atteint leurs limites et ne permettent plus d’évolution de l’appareil ; nous avons donc pour objectif de réaliser un démonstrateur constitué d’un portage du software d’un équipement médical sur un STM32 surdimensionné, ainsi que de plusieurs interfaces électroniques modulables
Clélia : J’ai choisi ce projet car il était très complet. Il y avait de l’électronique, de l’informatique embarquée, de l’automatique… De plus, ce projet est dans le domaine du médical et je souhaite que mon travail ait un impact positif sur la société et en l’occurrence ici, sur la santé.
Oumaya : J’ai choisi ce projet puisque c’est un projet médical et c'est un domaine que j'aime beaucoup. De plus, dans ce projet on devait développer un firmware embarqué, j’avais des connaissances dans les systèmes embarqués et je voulais monter en compétences grâce à ce projet.
Jorelle : A ce stade de mes études, je dirais que le projet industriel a été le moment le plus formateur du cycle ingénieur. En effet, on met en pratique les enseignements théoriques transmis par nos professeurs mais le réel est dans le projet. Tout ce que vous faites en projet est un avant-goût de ce qui vous attend en tant qu’ingénieur que ce soit en termes de gestion de projet ou de contribution technique. Vivre le projet avant de se lancer dans le monde du travail réel c’est vraiment rassurant.
Clélia : Le projet industriel m’a permis de mettre un pied dans le monde professionnel. J’ai pu mettre en pratique les notions que j’ai étudiées dans mon cursus scolaire. Travailler en groupe sur un projet aussi long était nouveau pour moi aussi. Cela m’a permis de voir toutes les étapes dans la vie d’un projet et de me rapprocher de plus en plus de mon futur métier d’ingénieur.
Pour en savoir plus sur les projets industriels.
Rencontre avec une équipe du projet industriel 2021
GAZZAH Oumayma / NEVIADOMY Jorelle / PELIZZARI Clelia / ROUZEAU Manon
Peux-tu décrire le projet ?
Manon : Notre projet consiste en la refonte d’un équipement médical. En effet, les deux microcontrôleurs qui le pilotent ont atteint leurs limites et ne permettent plus d’évolution de l’appareil ; nous avons donc pour objectif de réaliser un démonstrateur constitué d’un portage du software d’un équipement médical sur un STM32 surdimensionné, ainsi que de plusieurs interfaces électroniques modulables
Pourquoi avoir choisi ce projet ?
Clélia : J’ai choisi ce projet car il était très complet. Il y avait de l’électronique, de l’informatique embarquée, de l’automatique… De plus, ce projet est dans le domaine du médical et je souhaite que mon travail ait un impact positif sur la société et en l’occurrence ici, sur la santé.
Oumaya : J’ai choisi ce projet puisque c’est un projet médical et c'est un domaine que j'aime beaucoup. De plus, dans ce projet on devait développer un firmware embarqué, j’avais des connaissances dans les systèmes embarqués et je voulais monter en compétences grâce à ce projet.
Quels ont été les apports des projets industriels dans ta formation d’ingénieur ?
Jorelle : A ce stade de mes études, je dirais que le projet industriel a été le moment le plus formateur du cycle ingénieur. En effet, on met en pratique les enseignements théoriques transmis par nos professeurs mais le réel est dans le projet. Tout ce que vous faites en projet est un avant-goût de ce qui vous attend en tant qu’ingénieur que ce soit en termes de gestion de projet ou de contribution technique. Vivre le projet avant de se lancer dans le monde du travail réel c’est vraiment rassurant.
Clélia : Le projet industriel m’a permis de mettre un pied dans le monde professionnel. J’ai pu mettre en pratique les notions que j’ai étudiées dans mon cursus scolaire. Travailler en groupe sur un projet aussi long était nouveau pour moi aussi. Cela m’a permis de voir toutes les étapes dans la vie d’un projet et de me rapprocher de plus en plus de mon futur métier d’ingénieur.
Comment t’imagines-tu dans 18 mois ? dans 5 ans ?
Clélia : Dans 18 mois je m’imagine en train de travailler sur un projet en électronique. Je ne sais pas encore dans quel domaine, l’avenir nous le dira… Dans 5 ans, je m’imagine ingénieur chef de projet ou manageur. Je souhaiterai diriger un projet et tout faire pour le mener à bien.
Jorelle : C’est difficile de se projeter à long terme, d’autant plus que nous vivons dans un monde où tout évolue très vite, mais j’espère que dans le futur je travaillerai dans un endroit qui me plait, que ce soit en France ou à l’étranger.
Quel sera ton meilleur souvenir de cette aventure ?
Manon : Le fait de travailler en groupe nous a permis de nous rapprocher, et fêter toutes les petites victoires du projet ensemble est quelque chose de mémorable !
Quel sera ton pire souvenir ?
Oumaya : On a travaillé pendant 2 mois sur le code de moteur de rotation; et le jour de la recette, le moteur n’a pas marché... Mais à la dernière minute, on a découvert que le problème était une panne de la carte d’interface.
Oumaya : Je ne trouve pas de différence entre un groupe mixte et un groupe 100 % féminin. Ce qui fait vraiment la différence ce sont les compétences et les personnalités des membres d’équipes.
Jorelle : On s’en fiche que vous soyez une fille, ce qui importe c’est votre motivation et votre détermination. Avec ces deux caractéristiques vous aurez toujours la possibilité d’atteindre vos objectifs. Les matières scientifiques sont loin d’être uniquement réservées aux garçons, alors si vous aimez les sciences foncez !
Manon : Le fait d’être un groupe entièrement féminin n’a, je pense, pas eu un impact particulier sur notre travail, même si cela nous a accordé une petite célébrité passagère !
