La collaboration entre les élèves ingénieurs de Grenoble INP – Esisar, UGA et les entreprises a débuté en janvier. Les élèves de 4ème année travaillent pendant 6 mois sur un projet industriel de R&D, avec un encadrement pédagogique et scientifique, ainsi que des moyens logistiques et techniques. Cette année, nous avons 26 projets industriels. Nous tenons à remercier Minalogic et la Région Auvergne Rhône-Alpes, puisque nous avons 17 projets labellisés Easytech !
J’ai 55 ans, je suis papa de 3 grands enfants. J’ai obtenu un diplôme d’ingénieur en électronique / traitement du signal, avant de rentrer dans l’industrie pour un premier emploi, où je développais des FPGAs pour du traitement d’images.
J’ai poursuivi cette carrière industrielle dans la société Markem-Imaje que j’ai quittée en 2018, alors que j’occupais le poste de responsable des études technologiques avec une vingtaine de docteurs, d’ingénieurs et de techniciens dans mon équipe. J’ai aussi profité de ces années pour poursuivre ma formation et obtenir un Master en management des technologies et de l’innovation à Grenoble École de Management.
Ensuite, j’ai intégré Dracula Technologies, une start-up valentinoise, comme directeur technique pendant 2 ans. Il y a 4 ans, j’ai créé ma propre société de conseil et d’ingénierie autour des systèmes d’impression digitale.
Les projets industriels proposés aux étudiants de l’Esisar sont un important atout en terme de formation car ils leurs permettent de réaliser un véritable projet avec toutes ses dimensions : technique, scientifique, management de projet, confrontation avec le client et travail en équipe.
J’ai appris durant toutes mes années en entreprise à manager de tels projets industriels. J’ai tout particulièrement envie de partager cette expérience avec des étudiants, de leur permettre d’acquérir des clefs pour dynamiser leur projet, ce qui je l’espère, leur permettra d’intégrer au mieux le monde industriel. L’idée est de les accompagner pour cette première et importante mise en situation professionnelle.
Mon rôle de chargé de projet est d’aider et de coacher l’équipe d’étudiants en leur proposant des apports méthodologiques, que ce soit au travers de méthodes de travail, de techniques de gestion de projet, de communication et de mise en place d’organisation efficiente. Je ne les aide pas dans la réalisation de leurs travaux et de leurs livrables, mais je les valide afin d'assurer une qualité dans les échanges avec l’entreprise partenaire et sa satisfaction.
En forte interaction avec les étudiants durant tout le projet, je propose une approche continue d’évaluation bienveillante, afin d’identifier les acquis de chacun et surtout les axes d’améliorations. L'objectif est que les étudiants s'intégrent au mieux au monde professionnel.
Transmettre mon expérience, mon savoir-faire, mon savoir-être sont pour moi l’essence de cette mission et la raison principale de mon intérêt pour celle-ci. L’interaction avec des étudiants de différentes formations, de différents horizons est aussi une source de partage et de découverte. De plus, la pluralité des sujets et des technologies aide à satisfaire un peu plus ma curiosité technique.
Enfin, je crois que le plus intéressant est de voir les progrès accomplis et les expériences acquises par les étudiants lors des projets industriels.
Daniel Esteoulle encadre 2 équipes de projets industriels 2022 :
Peux-tu te présenter en quelques lignes ?
J’ai 55 ans, je suis papa de 3 grands enfants. J’ai obtenu un diplôme d’ingénieur en électronique / traitement du signal, avant de rentrer dans l’industrie pour un premier emploi, où je développais des FPGAs pour du traitement d’images.
J’ai poursuivi cette carrière industrielle dans la société Markem-Imaje que j’ai quittée en 2018, alors que j’occupais le poste de responsable des études technologiques avec une vingtaine de docteurs, d’ingénieurs et de techniciens dans mon équipe. J’ai aussi profité de ces années pour poursuivre ma formation et obtenir un Master en management des technologies et de l’innovation à Grenoble École de Management.
Ensuite, j’ai intégré Dracula Technologies, une start-up valentinoise, comme directeur technique pendant 2 ans. Il y a 4 ans, j’ai créé ma propre société de conseil et d’ingénierie autour des systèmes d’impression digitale.
Pourquoi avoir choisi d'encadrer des projets industriels ?
Les projets industriels proposés aux étudiants de l’Esisar sont un important atout en terme de formation car ils leurs permettent de réaliser un véritable projet avec toutes ses dimensions : technique, scientifique, management de projet, confrontation avec le client et travail en équipe.
J’ai appris durant toutes mes années en entreprise à manager de tels projets industriels. J’ai tout particulièrement envie de partager cette expérience avec des étudiants, de leur permettre d’acquérir des clefs pour dynamiser leur projet, ce qui je l’espère, leur permettra d’intégrer au mieux le monde industriel. L’idée est de les accompagner pour cette première et importante mise en situation professionnelle.
Quel est ton rôle en tant que chargé de projet ?
Mon rôle de chargé de projet est d’aider et de coacher l’équipe d’étudiants en leur proposant des apports méthodologiques, que ce soit au travers de méthodes de travail, de techniques de gestion de projet, de communication et de mise en place d’organisation efficiente. Je ne les aide pas dans la réalisation de leurs travaux et de leurs livrables, mais je les valide afin d'assurer une qualité dans les échanges avec l’entreprise partenaire et sa satisfaction.
En forte interaction avec les étudiants durant tout le projet, je propose une approche continue d’évaluation bienveillante, afin d’identifier les acquis de chacun et surtout les axes d’améliorations. L'objectif est que les étudiants s'intégrent au mieux au monde professionnel.
Quels aspects t'intéressent particulièrement dans cette mission ?
Transmettre mon expérience, mon savoir-faire, mon savoir-être sont pour moi l’essence de cette mission et la raison principale de mon intérêt pour celle-ci. L’interaction avec des étudiants de différentes formations, de différents horizons est aussi une source de partage et de découverte. De plus, la pluralité des sujets et des technologies aide à satisfaire un peu plus ma curiosité technique.
Enfin, je crois que le plus intéressant est de voir les progrès accomplis et les expériences acquises par les étudiants lors des projets industriels.
Daniel Esteoulle encadre 2 équipes de projets industriels 2022 :